Leurs parcours respectifs sont différents, mais se croisent au même rond-point : l’excellence et la croissance dans leurs activités. Pour cette semaine, voici le portrait de cinq brillantes entrepreneures congolaises. Autrefois cadre dans un Cabinet américain basé à Londres (Grande-Bretagne), Gisèle Mudumbi Van Houck a décidé de regagner Kinshasa pour ouvrir son salon Zuri spécialisée dans la vente des extensions capillaires…
Aya Nakamura sur son concert à Kinshasa : « J’ai hâte d’y être, on va bien s’amuser ! »
Candidature féminine à la présidentielle 2023 : vers une absence répétée comme en 2011 et 2018 ?
Selon le magazine forbes, en 2016, Zury Luxury Hair avait vendu des perruques et tissages d’une valeur de plus de 100.000 $ à travers la RDC et le Rwanda en ligne et levé 75.000 $ de financement par actions pour créer une société holding à Hong Kong, qui a lancé un bureau de la chaîne d’approvisionnement à Guangzhou avec trois employés.
Au début du XXème siècle, la présence des femmes dans des métiers dit «Métiers d’hommes « suscitait beaucoup de réactions comme les moqueries et les hilarités. Les premières femmes enseignantes, avocates, industrielles et autres en sont les premières victimes. Mais aujourd’hui grâce au progrès des Droits des femmes, il n’est plus scabreux de voir une femme exerçant un métier qui autre fois était uniquement attaché à l’homme.
Fondatrice de Bring Back Sisterhood Drc, Anne-Emilie Yooto est une jeune femme congolaise qui milite, par le biais de sa structure, pour une société dans laquelle les femmes se soutiennent. Est-ce une utopie? Ou pouvons-nous croire en la possibilité d’une société où les femmes se serrent les coudes ? Elle nous dit tout dans cette interview.